En Haïti, si le Premier ministre Ariel Henry a démissionné, “c’est beaucoup plus le fait de la violence que d’une pression des partis ou de la société civile”, estime l’écrivaine haïtienne Yanick Lahens, mercredi 13 mars, sur France Inter. Depuis Port-au-Prince, la capitale du pays, elle juge que cette démission “a donné aux gangs un certain statut. Ils se sont dit ‘maintenant, nous sommes l’armée de libération nationale’ ou bien ‘on veut faire une révolution'”.
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